Silvia Lippi essaye dans son parcours de définir la musique, la structure de la musique, son rapport au langage, aux affects, aux phonèmes, à la sonorité, la lisibilité de la musique et son lien au sens et au non-sens et à la jouissance. Pour cela elle se sert du corpus psychanalytique mais également anthropologique et philosophique. Pour arriver ainsi à une des conclusions de son travail : « Le but de notre analyse a été́ de montrer l’importance de la mise en place du rythme dans la cure, et des enjeux pour celle-ci lorsqu’on entrecroise les domaines de la psychanalyse et de la musique.
langage
CHABOUDEZ GISÈLE – JANVIER 2019 – A PARAÎTRE
‘ [ … ] Ce livre déploie ainsi quelques clés décisives pour penser le corps et le psychisme autrement qu’en territoires séparés. ‘
FAIRE SA PLACE AU SUJET
Toute rencontre clinique est singulière