Ma mère, mon poison
Mardi 21 février
20h30
Documentaire réalisé par Anne-Marie Avouac
FRANCE 5
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La diffusion sera suivie d’un débat.
On ne nait pas singulier, on peut seulement le devenir.
Article écrit par Marianne Carabin
Ça parait simple comme bonjour.
Une rencontre comme il y en a mille. Une rencontre comme une autre. Un homme ? Une « femme ». Un bal. Une fête. Un regard. Une danse. Un baiser. Stop. Ça devrait s’arrêter là.
On ne veut plus savoir. Après ça, on ne veut plus savoir.
Extrait d’e l‘entretien avec Armand Delcampe, 1981, Samuel Beckett et Fin de partie*
(…) Sont passés à côté de l’oeuvre de Beckett, mais il y a toujours eu des hommes de théâtre qui toujours admiré et servi la poésie. Vilar, n’est pas passé à côté de l’oeuvre de Beckett. Il y a toujours eu des hommes de théâtre qui se sont intéressés la poésie et qui l’ont servie.
(…) Si je pense que Brecht est un grand poète, Beckett c’est autre chose. C’est, Beckett c’est ma vie. « C’est une pièce difficile et elliptique. Elle compte surtout sur la puissance du texte pour prendre aux entrailles. Elle est plus inhumaine que Godot. Mon oeuvre est une question de sons fondamentaux rendus aussi pleinement que possible et je n’accepte pas la responsabilité d’autre chose. Si les gens veulent se casser la tête sur les harmoniques, c’est leur affaire. »
– Nous sommes de véritables personnages de théâtre dans une pièce de Beckett – Peter Brook
« invincible Éros que nul ne peut éviter et qui détourne chacun des convenances » (Sophocle)
2020, la trentième année de Thélèmythe, dont voici extraits quelques mots proposés par Hélène Blaquière, Georgy Katzarov, thérapeuthes à Thélèmythe
« On peut prévoir (…) qu’un jour la société reconnaîtra que la santé publique n’est pas moins menacée par les névroses que par la tuberculose. «