Remerciements des plus sincères à Frédéric Gohr qui aura accepté la publication de ses mots sur ce site. C’est déjà ça.
Je t’aime ; c’est non.
Albrecht G., mon père, n’était pas un héros. C’était un môme mal construit juste avant la seconde guerre avec un nom prussien et, chemin de traverse de la génétique, une gueule d’espagnol. Ses parents : son père souvent absent, sorte de dandy spectral, personnage mystérieux sorti d’un roman de Drieu La Rochelle, sa mère aimante, catholique pratiquante, courageuse, mais très anxieuse.