LE SUICIDE, UNE PORTE

La nature a eu un mouvement de pitié ; elle ne nous a pas emprisonnés. Merci pour les désespérés !
Quant aux simples désabusés, qu’ils marchent devant eux l’âme libre et le cœur tranquille. Ils n’ont rien à craindre, puisqu’ils peuvent s’en aller ; puisque derrière eux est toujours cette porte que les dieux rêvés ne peuvent même fermer.