Il conviendrait plus que jamais, pour retrouver notre dignité et nous émanciper d’une oppression sociale et culturelle d’autant plus dangereuse qu’elle est insidieuse, de retrouver le courage de penser.
A condition de ne pas réduire le penser à ce qui se produit dans les réseaux neuronaux, à la conscience vigile, à la raison et au calcul. Ce qui s’appelle « penser » guide, oriente et détermine les mains du potier qui donnent une forme au vide (…)