PARIS BRUXELLES NICE BERLIN […]

Le plus frappant c’est qu’aussi bien à Paris qu’à Bruxelles – et l’on pourrait dire à cette heure à Nice et à Berlin – la réponse commune et collective, par ce que qui est commun n’est pas forcement collectif, donc c’est une réponse commune qui se dit dans un collectif, et qui par conséquent fait aussi du collectif, ie essaye de rassembler au moment où des brèches, des brisures, des failles, des fissures dont on se demande si elles pourront être jamais réparées, et quelles traces elles laisseront, au moment où ces failles et ces brisures font douter de quelque chose de collectif et interrogent bien sûr le collectif et évidemment interrogent l’autre et interrogent cette question même d’altérité.